À la suite de la guerre Épées de Fer,
l'Assurance nationale a lancé au début de la guerre un appel aux organisations
et associations en faveur de solutions thérapeutiques émotionnelles et mentales
dans le cadre des combats et de leurs ramifications
Cela
est dû à notre compréhension qu'il y a des domaines dans lesquels la fonction
publique n'apporte pas nécessairement une solution et que l'Assurance
Nationale, dans le cadre de sa Division des Fonds, peut aider le secteur civil
avec un soutien financier à l'heure actuelle.
Après la soumission et l'examen des
demandes, l'Assurance Nationale a approuvé le financement de plusieurs projets
simultanément, pour des montants compris entre 200 000 ILS et 2,8 millions ILS.
Comme mentionné ci-dessus, les fonds ont été transférés aux associations en
faveur de la fourniture de soins mentaux et émotionnels aux victimes de la
guerre.
Dans le même temps, bien sûr, l'assistance
continue - à la fois économique et mentale - fournie par l'Assurance Nationale
aux blessés, aux familles endeuillées, aux otages et à leurs familles se
poursuit.
Sur les 65 millions ILS transférés aux
différentes organisations à but non lucratif par la Division des Fonds de
l'Assurance Nationale, 7,5 millions ILS ont été alloués au traitement des
survivants des festivals – Nova et Psyduck.
L'Assurance Nationale a également fourni
une assistance à d'autres organisations et projets, notamment :
- Assistance d'un montant de 1 533 852 ILS à Natal - au profit de
traitements émotionnels et cliniques visant à réduire l'effet
post-traumatique, à prévenir l'exacerbation d'une situation traumatique
existante, à des traitements émotionnels immédiats pour gérer et atténuer
le traumatisme existant résultant des atrocités.
- Assistance d'un montant de 1 000 000 ILS à Izun
Village -
qui se concentre sur la fourniture de solutions thérapeutiques
professionnelles aux survivants des festivals exposés au terrorisme, dont
certains étaient sous l'influence de substances psychoactives au moment de
l'attaque et le traitement sera donc adapté à ces caractéristiques.
- Assistance
d'un montant de 2 200 000 ILS au Centre israélien de toxicomanie et de
santé mentale - qui
promeut la prévention et le traitement dans le domaine de la santé mentale
et de la toxicomanie au niveau national. Le projet fonctionnera au profit
des survivants des festivals et de leurs familles, en mettant l'accent sur
le traitement des situations de stress et de traumatisme.
- Assistance d'un montant de 322 220 ILS à l'association
« Yadi-Or » - qui s'occupera des jeunes survivants des
festivals en mettant l'accent sur l'accompagnement du corps et de l'âme
par la médecine complémentaire, et en se concentrant sur les traitements
holistiques intégrés pour l'équilibre du corps et de l'esprit.
- Assistance d'un montant de 845 780 ILS à Eran - qui opère
une hotline et une réponse mentale en ligne, tout en favorisant la
formation d'équipes pour des réponses adaptées aux situations traumatiques
et post-traumatiques, entre autres parmi les jeunes survivants des
festivals.
- Assistance d'un montant de 665 929 ILS à
l'Organisation pour les victimes d'actes terroristes - y compris
l'ouverture d'une ligne d'urgence dédiée, entre autres pour les survivants
des festivals et leurs familles, la thérapie émotionnelle et la
psychothérapie avec des conseils et un accompagnement continu jusqu'à leur
intégration dans les fonctions de la vie quotidienne.
- Assistance d'un montant de 1 320 100 ILS à
« Ella », un centre de gestion mentale en cas
de perte, qui fournira des services de soutien mental et se concentrera
sur la mise en place d'une unité thérapeutique en périodes de perte et de
crise, en mettant l'accent sur le traitement des traumatismes. En outre,
une formation sera dispensée aux équipes axées sur le traitement des traumatismes
et des post-traumatismes.
- Assistance d'un montant de 411 800 ILS au Centre
israélien de traitement psycho traumatique - qui fournit un
traitement complet de prévention des traumatismes auprès des survivants
des festivals, des programmes d'intervention individuels et de groupe et
une formation des équipes de traitement des traumatismes.
L'assistance des fonds, qui a d'emblée
reçu l'approbation du Comité des fonds du Conseil de l'Assurance Nationale et
du Ministre du Travail lors de la fixation des indices de qualité que nous
avons examinés, entre autres, la nécessité du programme et sa valeur ajoutée,
la population cible et le champ d'activité, la capacité de l'organisation à
soutenir le programme, ainsi que la faisabilité et l'applicabilité.
Ministre du Travail, Yoav Ben Tzur: « Il
était clair pour moi dès le premier instant que la signature de la proposition
qui m'a été présentée pour le financement des projets d'assistance
psychologique pour les populations touchées par la situation de guerre est une
mesure nécessaire et éthique qui ne pouvait pas venir assez tôt.
La société civile a aujourd'hui atteint des sommets et il est juste de leur
accorder une aide financière afin qu'elle puisse continuer à apporter une
assistance économique là où les projets gouvernementaux font défaut.
La capacité de gérer conjointement l'aide gouvernementale et, dans le même
temps, d'aider et de financer les initiatives sociales du public est une
combinaison nécessaire, certainement à l'heure actuelle."
Directrice Générale par intérim de l'Assurance Nationale, Yarona
Shalom : « L'Assurance Nationale est investie d'une grande mission
dans le traitement et l'assistance, à la fois mentale et financière, des
familles blessées, endeuillées et des familles des otages. Dans le même temps,
il est justifié que nous ayons la capacité, dans le cadre des Fonds de
l'Assurance Nationale, de renforcer la société civile et de financer des
projets sociaux. Nous sommes dans une période difficile et de défis, dès lors,
le renforcement des initiatives sociales, leur financement en parallèle avec
les activités du personnel de l'Assurance Nationale et la prise de contact
personnel avec les blessés et les familles compléteront, d'une certaine
manière, l'ensemble des solutions apportées à l'état de guerre dans lequel nous
sommes."