Près de six mois se sont écoulés depuis le début de la guerre : 814 victimes civiles d'attaques terroristes, dont 39 enfants
L'Assurance Nationale rapporte qu'à ce jour, près de six mois après le début de la guerre et après le massacre du 7 octobre, 814 civils ont été assassinés dans des actes terroristes.
Il convient de noter que l'Assurance Nationale n'est en charge que des civils et non des forces de sécurité qui comprennent les forces militaires, la police, les équipes d'intervention d'urgence, etc.
Sur 814 victimes,
- 5 victimes sont des bébés âgés de 0 à 5 ans. 3 d'entre eux ont moins de 3 ans.
- 5 victimes sont des enfants âgés de 6 à 10 ans.
- 29 victimes sont des enfants âgés de 11 à 18 ans.
Au total, 39 enfants de moins de 18 ans ont été assassinés.
- Jusqu'à présent, l'Assurance Nationale a versé environ 19 327 574 shekels en subventions d'aide aux familles des personnes tuées, telles qu'une subvention pour funérailles, une subvention de veuvage, une subvention pour deuil et une subvention pour inhumation. Il convient de noter que ces montants ne comprennent pas les allocations actuelles pour les familles des victimes d'actes terroristes, mais seulement les subventions d'aide initiale.
- En outre, à ce jour, l'Assurance Nationale a versé des paiements à environ 65 032 victimes civiles d'actes terroristes (comme mentionné, pas les forces de sécurité) qui ont été traitées par l'Assurance Nationale, y compris les victimes du terrorisme, à la fois de l'attaque du 7 octobre, les survivants des festivals Nova et les victimes d'attaques et de tirs de roquettes dans le nord et le sud, et les familles des otages et ceux qui sont revenus de la captivité du Hamas.
Le total des paiements versés à ce jour aux victimes d'actes terroristes par l'Assurance Nationale s'élève à environ 1 020 418 857 shekels.
Dans le cadre de l'accompagnement des victimes d'actes terroristes, l'Assurance Nationale prend contact avec les familles et les victimes par l'intermédiaire des agents de réadaptation de l'organisation, organise des réunions, des conférences Zoom, etc., pour les aider dans cette période complexe et mettre à leur disposition les nombreux droits dont elles disposent dans le contexte de la perte grave qu'elles subissent.
De plus, l'Assurance Nationale travaille avec les survivants des festivals du 7 octobre de manière ciblée afin que chaque blessé reçoive un traitement en fonction de son lieu de résidence, dans une agence proche de son domicile. Par ailleurs, au cours des mois d'octobre et de novembre, les employés de l'Assurance Nationale ont activement initié des conversations avec 3 702 survivants du festival, dont 3 693 ont été reconnus comme victimes d'actes terroristes, soit 99,8 %. Il y a d'autres survivants que l'Assurance Nationale essaie de contacter avec sensibilité, mais ils n'ont pas répondu ou ne souhaitaient pas une aide, et le suivi se poursuivra en fonction de leur situation et de leurs souhaits, dans le but de les aider.
En outre, les employés de l'Assurance Nationale sont en contact régulier avec les producteurs du festival et se rendent deux fois par semaine dans les complexes qui ont été ouverts pour les survivants à l'Étoile de la Mer et à la Ferme Ronit à des fins d'assistance et d'épuisement des droits.
En janvier – Les employés de l'Assurance Nationale arrivent chaque semaine et au besoin pour l'évènement initié par les producteurs du festival au Trask Club dans le port de Tel Aviv.
En outre, un certain nombre de conférences Zoom ont été organisées auxquelles toutes les victimes du festival ont été invitées afin d'expliquer la procédure d'octroi d'une prestation, ainsi qu'une procédure d'anxiété qui permet des traitements psychologiques en cas de traumatisme financés par l'Assurance Nationale.
L'Assurance Nationale a également identifié un besoin d'orientation pour les parents des survivants du festival et tiendra une réunion en ligne avec eux aujourd'hui en vue d'explications, de l'épuisement des droits, etc.
Afin de rendre les droits aussi accessibles que possible, l'Assurance Nationale a mis en place des sites dédiés sur son site internet officiel par populations cibles : familles d'otages, survivants du festival, familles des victimes, etc.
Dans le cadre de l'accessibilité des droits, un formulaire abrégé a été téléchargé pour soumettre une demande, lequel requiert des informations de base afin de faciliter autant que possible la procédure que l'Assurance Nationale est tenue de respecter en vertu de la loi sur les allocations. De plus, nous enverrons une vidéo expliquant la procédure et sa logique aux victimes du terrorisme.
Un email dédié a été mis en place pour les questions des survivants du festival et de leurs familles : pniutpartysurvivors@nioi.gov.il
L'Assurance Nationale a également créé des groupes de soutien pour les parents endeuillés à Rehovot, Kfar Saba, Hadera, Haïfa, Beer Sheva et plus encore, des groupes de soutien pour les parents de jeunes enfants et des groupes de soutien pour les survivants qui ont subi un traumatisme sous l'influence de drogues psychotropes et l'adaptation des traitements à cette situation. Les solutions de traitement mental ont été étendues à 36 séances de thérapie pour ceux qui en ont besoin ainsi qu'à un panier de traitements complémentaires pour les survivants du festival, permettant une large gamme de traitements complémentaires allant jusqu'à 6 000 ILS par an, conformément à la réforme "Une Âme".
Zvika Cohen, Directrice Générale par Intérim de l'Assurance Nationale: « L'Assurance Nationale continue de travailler 24 heures sur 24 pour apporter une réponse et agir de la manière la plus créative pour traiter et réduire la bureaucratie. Gardez à l'esprit que l'Assurance Nationale est soumise aux dispositions de la loi et qu'il y a parfois un conflit entre l'émotion et la terrible douleur et ce à quoi les employés de l'organisation sont tenus. Cependant, il est important que tous ceux qui nous contactent sachent que nous nous réveillons tous les matins avec un sentiment de mission et d'engagement public et que nous tournerons toutes les pierres pour aider, embrasser, assister et accompagner les familles des blessés et les familles endeuillées dès à présent. "