Assistance psychologique et financière aux otages et à leurs familles


L'Assurance Nationale est responsable du traitement des victimes du terrorisme, y compris les otages et les personnes disparues et leurs familles.

Après la guerre – à ce moment et en fonction de la situation, une assistance est offerte au nom d'autres entités telles que :

  • Ministère de la santé
  • Ministère des Affaires sociales
  • Ministère des Finances
  • Direction de MeHalev

Afin de d'éclaircir la situation, voici l'assistance fournie par l'Assurance Nationale uniquement:

Familles d'otages

Jusqu'à l'arrivée des otages en Israël

  • Assistance aux membres de la famille des otages – premier palier : Les familles ont droit au panier complet des prestations et allocations accordées aux familles victimes du terrorisme. Il s'agit d'allocations mensuelles, avec le soutien d'un travailleur social pour le compte de l'Assurance Nationale et fournissant des solutions en fonction des besoins uniques tels que le logement, le transport et l'aide aux besoins spéciaux en matière de soins ménagers (baby-sitter, ménage).

    Cette assistance est accordée à la famille nucléaire de l'otage, au conjoint de l'otage, aux enfants mineurs et aux parents de l'otage.
  • Assistance aux membres de la famille de l'otage – deuxième palier : Afin de financer les dépenses liées à la libération de l'otage, l'Assurance Nationale transfère une subvention d'un montant de 90 000 ILS par trimestre aux membres de la famille de l'otage. La subvention est répartie entre les parents de l'otage et son conjoint (la loi détermine à qui la subvention doit être transférée s'il n'y a pas de parents ou de conjoints).
  • Une subvention d'un montant de 21 000 ILS pour chacun des enfants adultes, frères et sœurs de l'otage.
  • Assistance mentale – L'Assurance Nationale finance un traitement de santé mentale pour les membres de la famille otages – parents, conjoint et enfants.

Après l'arrivée de l'otage

  • La subvention trimestrielle d'un montant de 45 ILS pour les parents ou le conjoint – reste entre les mains des familles et n'est pas restituée même lorsque l'otage revient au cours du trimestre.
  • La subvention d'un montant de 21 000 ILS pour les enfants des otages âgés de plus de 21 ans et pour ses frères et sœurs âgés de plus de 22 ans - reste entre les mains de la famille et n'est pas restituée même lorsque l'otage revient au cours du trimestre.
  • Dans le cadre de la « Réforme une Âme » – les membres de la famille du premier cercle d'otages revenus de captivité auront droit au financement des soins de santé mentale.

Les otages

Dès le retour de l'otage

  • Une subvention d'approvisionnement initiale unique de 10 000 ILS.
  • Paiement mensuel en vertu de la loi sur la rédemption de captifs d'un montant d'environ 1 350 ILS.
  • Reconnaissance en tant que victime d'actes terroristes, détermination du pourcentage d'invalidité et détermination d'une pension courante en fonction du taux d'invalidité.
  • Enveloppe en tant que victime d'actes terroristes, y compris le financement de soins médicaux mentaux et physiques complets, la fourniture de solutions aux besoins spéciaux (logement, mobilité dans les cas pertinents) et le soutien d'un travailleur social pour le compte de l'Assurance Nationale.